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  • : JARDIN Paysagiste Conception Création Entretien Élagage Bassin Clôtures Dallages Eure Eure-Loir Yvelines Saint-André-Eure
  • : Artisan paysagiste, Victor RIBEIRO, gérant de la SARL ACCES JARDINS, vous guide dans le projet de conception de votre espace vert par plans personnalisés, le réalise (configuration du terrain, plantations végétaux -massifs, arbres, arbustes, fleurs - allées - pavage, gravillons, dallages -, clôtures, murets, décoration extérieure), entretient votre jardin (tontes pelouses, élagage, taille, désherbage, bêchage) possibilité de contrats à l’année. Eure Eure-et Loir Yvelines.
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9, route de la Croix-Blanche

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Tel bureau : 02 32 37 26 81
Tel portable : 06 28 05 06 68
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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 13:50
Plusieurs arbres étaient à élaguer
dans cette propriété en bord de l’Eure.

Tout d’abord un saule situé devant la maison.
Voici son état initial.



Puis après
avoir été élagué.

 Il y avait ensuite
un platane
sur l’arrière
de la maison.
Évolution
de l’élagage
du platane.

Platane élagué.



Un second saule maintenant.



Que voilà élagué.



Au tour
du premier
saule pleureur.
Nous avons conservé
la forme pleureuse
des saules pleureurs.
Quand leurs feuilles repousseront,
ils garderont une forme harmonieuse.
Un acer negundo a été aussi allégé.

 
Avant,




après.


 
Un second
saule pleureur
est situé
en bord de rivière.

Étapes
de son élagage.




 
Une cépée de saules
de grande hauteur, située aussi
en bord de l’Eure.

 
Le groupe acer negundo,
cépée de saules
et premier saule pleureur, finis.
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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 11:39


Dans le but de la remplacer par une clôture de panneaux en bois à Plaisir (78370), nous avons abattu une haie de thuyas plantée derrière un muret.

 

Âgés d’une trentaine d’année et trop peu entretenus, ils occupaient une trop grande surface dans le petit jardin.
Leur propriétaire avait bien tenté d’élaguer la haie à l’intérieur du jardin, mais s’ils ne sont pas élagués régulièrement, les thuyas ne peuvent être « rattrapés » esthétiquement.

 


 

 


Victor Ribeiro a commencé par couper les branches puis les troncs de la partie perpendiculaire à la rue, proche du portail d’entrée.

 



La taille a continué,
dévoilant le grillage.
Des branches y sont accrochées.

 

 

 



La situation en contrebas de la rue a permis un chargement plus aisé des branches.

 


Les troncs situés près du portail étaient derrière un muret que nous allons déplacer.
C’est pourquoi il a fallu les dessoucher à la mini-pelle.

 

 


 

Il était prévu que les thuyas parallèles à la rue seraient simplement coupés au raz du sol, les racines ne gênant en rien la plantation future de fleurs, contrairement à l’implantation ultérieure d’autres arbustes. Cependant, les quatre derniers étaient vraiment plantés trop près du mur (ce qui sera cause d’un mur très détérioré par les racines). Nous aurions eu des difficultés à monter les panneaux de bois sans les dessoucher.

 




Le grillage a été ôté.

 

 

 

Lire la suite: remise en état d'un mur

 

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14 juin 2009 7 14 /06 /juin /2009 12:35

Qui, enfant, n’a pas joué aux hélicoptères
avec des graines d’érable ?

 

 

 

Cette graine est faite pour perpétuer son espèce, voletant au loin…
Et un jour, elle est tombée au pied d’un lilas,
dans le jardinet d’un appartement situé au rez-de-chaussée d’un immeuble de quatre étages, au Chesnay, près de Versailles.

 

 

 

 

Mais la poésie de l’érable a fini par lasser les propriétaires du jardin…
il avait poussé trop haut, trop près de la façade de l’immeuble.
Il fallait l’abattre…

 

 

 

 

 

 

Abattre oui, mais pas d’un seul tenant.
Il faut le « démonter ».

 

 

 

 

À savoir, grimper,
avec le harnais
et les cordes de sécurité,

 

 

 

 

en coupant les branches latérales et en les jetant côté rue.

 

 

 

 

 

 

 

Arrivé à la cîme,

 

 

 

 

 

Victor Ribeiro coupe les « têtes »,

 

 

 

puis redescend en coupant les branches restantes,

 

 

 

 

 

 

 

 

et le tronc, par morceaux

 

 

 

jusqu’en bas.
La souche sera traitée afin de faire dépérir les racines.

 

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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 18:00

 

L'abattage d'un arbre n'est pas, à proprement parler,

une opération délicate pour un professionnel.

Il le taille de manière ad hoc à sa base, l'arbre tombe.

Ne restent plus que l'ébarbage, la taille du tronc,
le nettoyage et l'évacuation.

Rapide.


Il n'en va pas de même pour un arbre
dit " en situation difficile".

Qu'il soit proche d'une maison, d'une route, de fils électriques, et le travail n'est plus du tout le même!

Nous avons abattu un sapin qui était proche d'une maison,
d'une route et de fils électriques.

 

 


Détails illustrés de l'opération.

 

En premier lieu, la sécurité.
La cote de travail que porte Victor Ribeiro est spéciale: un maillage interne lui donne la faculté d'arrêter le mouvement de la lame de la tronçonneuse dès qu'effleurée.
Le harnais, semblable à ceux des varappeurs, est indispensable.




Une corde lui est attachée, qui sera mise en contournement des branches maîtresses, branche par branche, et reliée à nouveau
au harnais
par de solides mousquetons.





Ce harnais comporte un mousqueton auquel on peut accrocher la tronçonneuse d'élagage, modèle petit et léger. Le grimpeur n'est donc pas dangereusement embarrassé par l'engin lors de ses déplacements dans l'arbre.


La technique va être celle de l'élagage.
On coupe les branches
une par une,
en commençant par le bas.







D'abord les plus petites,

puis les plus grosses.


Et c'est là que réside la délicatesse de l'opération: les grosses branches,

susceptibles de tomber par elles-mêmes, soit sur les fils électriques,

soit sur la maison, soit sur la rue située derrière le muret,

doivent être dirigées doucement à la main.





Celle que vous voyez en diagonale est descendue














se tient droite à l'instar d'un sapin de Noël avant de se coucher délicatement, sans avoir nui aux fils électriques.




 

La même attention est portée aux autres branches susceptibles de heurter les fils



















et le toit de la maison ainsi que la véranda








Branche après branche, le sapin va être dépouillé jusqu'au tronc.








 




 


 

 

 

Avant l'"assaut final", il s'agit de bien dégager le pied du tronc.

 

 

Les branches sont ramassées et mises dans la benne du camion,
et l'endroit scrupuleusement ratissé.




La grosse tronçonneuse d'abattage entre en action. Le client désirant garder un morceau du tronc pour usage décoratif, le tronc ne sera pas coupé au niveau du sol. L'entaille est coupée du côté où le tronc devra tomber.






À peine le trait de coupe est-il effectué du côté opposé à l'entaille que le tronc tombe à terre.




Le tronc est ensuite découpé en bûches qui rejoindront les branches dans la benne.




Ni le toit, ni les fils, ni la véranda, n'ont été touchés.

Pas une branche n'est tombée dans la rue adjacente.
L'endroit est rendu propre

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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 13:26

 

La commune de Croth a fait appel à nos services pour abattre un frêne mort et en élaguer cinq autres aux alentours des locaux périscolaires et du groupe scolaire.

 

 





Afin de ne pas détériorer la clôture située au-dessous, la branche située en aplomb est encordée pour rester en suspension.

 



Le déplacement dans l’arbre se fait en rappel, méthode identique à celle des alpinistes, à l’aide de la corde prévue à cet effet.

 

 

 



Après la coupe, l’homme de pied maintient la branche en suspension et la fait descendre progressivement.

 





L’élagage du frêne
situé au-dessus de la clôture
est terminé.

 

 

 




Cet arbre a été rabattu sévèrement afin de dégager le ruisseau
et de protéger les jardins
des maisons proches.

 

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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 18:00

Dans une propriété nouvellement acquise
se situent trois majestueux chênes.
Le plus gros doit avoir trois siècles...

 

 

 

 




... et le plus jeune 200 ans.

 

Les nouveaux propriétaires ont vite observé que ces arbres vénérables étaient malades. Il n’était pour autant pas question de les abattre sans sommation.

La beauté et l’âge de ces chênes ont plaidé en leur faveur.

 

Nous avons constaté que nombre des branches étaient mortes. D’autres présentaient des dégradations terribles, des parasites ayant creusé de considérables galeries dans le bois.

Le plus gros des chênes comportait de telles cavités que des chauve-souris y étaient installées !

 

Ces dernières, espèce pourtant protégée, auront dû se résoudre à élire un nouveau domicile, car nous avons dans un premier temps exécuté un élagage sévère. Les branches malades ont été coupées en revenant sur les parties saines et les branches mortes ôtées.

 




Victor Ribeiro coupe une grosse branche morte dont on voit clairement les trous.

 

 

 


 



L’exercice est très dangereux. Certaines branches semblaient saines, mais sous une mince couche dure, c’était le vide…

 

Il n’était pas possible de couper toutes les branches malades. Le risque aurait été de déséquilibrer le port de l’arbre. Un produit insecticide a été injecté dans les galeries et pulvérisé sur l’ensemble des arbres, branches et troncs.

 



Un cicatrisant a été appliqué
sur les grosses coupes.

 


 

Si l’élagage d’un arbre se fait en hiver au moment du repos végétatif, un traitement peut se faire toute l’année. Celui-ci sera à renouveler.

 

 

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3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 16:00

 

 

Ces thuyas plantés depuis 30 ans forment une haie
de 46 mètres linéaires.

Nous avons rabattu leur hauteur de 4 mètres à 2,50 mètres et taillé les côtés.





Au taille-haie thermique,
nous avons en premier taillé les côtés,
de manière à ce que les bois nus de l’intérieur n’apparaissent pas.




La taille se fait en dessous
des anciennes coupes
dont on voit ici la trace.
Le sécateur de force est utilisé.









Cette photo donne l’idée de l’épaisseur de cette haie :
4 mètres !




La petite tronçonneuse d’élagage entre en action pour couper les troncs des thuyas.






Victor Ribeiro a les pieds posés sur les troncs…
à l’exact milieu de l’épaisseur de la haie.






Branches et troncs
sont énormes.






Plus de 40 heures de travail sous un soleil de plomb.

Six camion-bennes pleins
ont été évacués,
soit quelque 36 m3.

 

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